Dans la tech comme ailleurs, l’erreur fait partie du quotidien.
Un serveur tombe, un script casse, une spec change à la dernière minute : personne n’y échappe.
Le problème, ce n’est pas l’erreur en elle-même.
- Le vrai problème, c’est la peur de se tromper.
Cette pression invisible qui nous fait douter, qui stresse, et qui grignote petit à petit notre bien-être au travail.
Un bug découvert en prod peut sembler catastrophique. Mais c’est aussi une occasion d’améliorer son code, de documenter, et de renforcer les bonnes pratiques.
Un incident réseau ou une panne système, ce sont des moments difficiles. Mais ce sont aussi des opportunités de consolider la sécurité, d’optimiser la résilience et d’apprendre à anticiper.
Un retard ou une mauvaise estimation n’est pas une fin en soi. C’est une chance de revoir les process, de mieux communiquer et de construire des méthodes plus solides pour la suite.
Et si le bien-être au travail commençait aussi par notre rapport à l’erreur ?
Le vrai bien-être, ce n’est pas d’évoluer dans un monde sans erreurs (impossible)…
C’est d’évoluer dans un environnement où on a le droit de se tromper, d’apprendre et de progresser ensemble.
C’est ce climat de confiance qui permet aux talents IT d’oser, d’innover et de grandir sans craindre la sanction immédiate.
On pourrait même résumer ça ainsi :
Bien-être = Confiance + Esprit d’équipe quand ça plante.
Chez MATEN, nous cultivons cette culture de l’apprentissage et de la bienveillance :
- encourager le partage d’expérience,
- transformer chaque bug en ressource,
-
et créer un climat où chacun sait qu’il peut compter sur les autres.
Parce qu’au final, le bien-être au travail, ce n’est pas d’évoluer dans un système parfait.
C’est de savoir qu’on peut trouver des solutions ensemble, même quand le système plante.
Et vous, quel a été le bug (ou l’erreur) qui vous a finalement appris le plus ?